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SEJOUR ET DECOUVERTE
La
nature sauvage et souvent impénétrable de la Dominique,
son littoral un peu austère de plages grises ou de rivages abrupts
battus par la houle atlantique, sont autant de facteurs qui n’ont
guère incité le développement. Un aéroport
international est toujours en projet mais, le relief ne s’y prête
guère.

Cette mise à l’écart
des grands circuits touristiques n’est pas pour déplaire
aux vrais amoureux de la nature. En fait la Dominique vaut plus pour son
intérieur que pour la fréquentation de ses rivages. Terre
primitive aux reliefs tourmentés couverts d’une cathédrale
de verdure, d’où jaillissent fumerolles et cascades alimentant
des lacs d’eau fraîche ou bouillonnante, la Dominique mérite
d’être explorée pas à pas.
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Les plus pressés pourront en découvrir
l’essentiel en voiture grâce à un réseau routier
restreint, souvent étroit, mais carrossable. L’hébergement
y est souvent modeste, la plupart des établissements se regroupant
autour de Roseau et Portsmouth
Roseau
La petite capitale est un alignement perpendiculaire
de vieilles maisons faites de pierres et de bardeaux (tuiles de bois),
à l’architecture un peu hétéroclite.

Faute de moyens, les façades sont souvent délabrées
et les commerces se réduisent à l’essentiel. Le marché,
très actif le samedi, révèle l’abondance de
la culture maraîchère de l’île, et le jardin
botanique donne un avant-goût de sa luxuriante végétation.
Visite de l'île

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